Des infrastructures de recherche d'exception ouvertes au monde académique et industriel
CNRS chimie représente le CNRS au sein de Très grandes infrastructures de recherche (le synchrotron SOLEIL et le Laboratoire des champs magnétiques intenses). Par ailleurs, il pilote ou contribue à des infrastructures de recherche (IR) et accompagne les plateformes dans leur ouverture à des communautés scientifiques et industrielles de toutes les disciplines.
Deux infrastructures de recherche exceptionnelles recherche exceptionnelles
Infanalytics : explorer la matière à l'échelle moléculaire
Essentielles à l’étude de la matière dans les domaines de la santé, l’environnement ou l’énergie, les techniques analytiques se déclinent en une vaste gamme de méthodes et d’appareils. Infranalytics propose donc l’accès à des équipements d’exception dans le domaine des très hauts
champs magnétiques / hautes fréquences. Cette infrastructure est ouverte aux académiques et industriels, également à l'international.
Infranalytics se concentre plus particulièrement sur la résonance magnétique nucléaire (RMN), la résonance paramagnétique électronique (RPE) et la spectrométrie de masse à résonance cyclotronique ionique (FT-ICR).
ChemBioFrance, pour la découverte de molécules bioactives
L’infrastructure de recherche ChemBioFrance offre aux chercheurs du secteur académique ou industriel un ensemble de ressources (collections de molécules ou extraits naturels, lignées de cellules...), d'équipements. Elle apporte son expertise pour l'identification de molécules biologiquement actives et leur développement vers des outils pharmacologiques. Elle contribue aussi à l'exploration des mécanismes du vivant (Homme, animal, végétaux) pour des applications en santé et environnement.
Les communautés de chimistes sont également largement utilisatrices des plateformes du réseau de microscopie électronique et sonde atomique (Metsa), piloté par CNRS Chimie, et du réseau d’accélérateurs pour les études des matériaux sous irradiation (Emir) piloté par CNRS Nucléaire et particules.
Étroitement liées, ces infrastructures de recherche fournissent un continuum de techniques de caractérisation de haute performance très complémentaires aux utilisateurs de communautés scientifiques variées : biologistes, physiciens, chimistes, chercheurs en sciences de l’environnement, etc.